S’appuyant sur les recherches moléculaires du prix Nobel scientifique John Walker, les fondateurs de Loop.Ph, Mathias Gmachl et Rachel Wingfield, ont poussé la conception de leur projet aux frontières de la science-fiction. Ils ont développé une architecture lumineuse qui s’anime elle-même en imitant la structure graphique moléculaire. Une forme de tissu alvéolaire, fabriqué à partir de fils électroluminescents, qui figurerait un métabolisme à échelle humaine. Leur objectif : Rendre la science plus accessible en créant des environnements dans lesquels les passants puissent comprendre certains processus de pointe de la recherche biologique et énergétique, explique Mathias Gmachl dans une **[vidéo diffusée sur Dezeen.com](http://www.dezeen.com/2013/02/01/quote-loop-ph/)**.
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